Elle est l’une des plus belles voix du Niger, Fati Mariko, née le 25 septembre 1964 à Niamey, attrape le virus de la musique des son plus jeune age.

Fati grandie pendant quelques années au Mali ou elle découvre de nombreux instruments, de plus son oncle dont elle est très proche n’est autre que le Docteur Kélétégui Mariko qui jouaient à l’époque dans l’orchestre de l’Amical à Niamey.
C’est en 1986 qu’elle débute sa carrière au sein de Marhaba dont le guitariste était l’un de ses oncles: Toroba. C’est dans ce groupe qu’évolue également celui qui deviendra son mari, Boureima Mamoudou.
Fati s’impose rapidement comme chanteuse principale de la formation Marhaba.
En 1988 avec le titre Dillaney Fati et Marhaba obtient la première place du prix Dan Gourmou.
En 1990 avec le titre OUA, Marhaba obtient le 3ème prix de ce même concours.
Après le décès de son mari boureima mamoudou, le groupe Marhaba a eu du mal a se relancé « chaque fois que j’essaie d’aller a la répétition on se réunit pour pleurer, j’ai arrêté de partir et me suis inscrite au CFPM TAYA. C’est ainsi que le groupe est disloqué. »

Au CFPM Taya, Elle travaille alors avec de nombreux musiciens nationaux tels que Yacouba Denké Denké, Haro, Abdallah, John Sofa Kolé, Adam’s junior, Poussy etc.. Mais aussi et surtout Fati a bénéficié de l’expérience des experts et artistes de renommée internationale tels que : Macintosh, Kamel Zekri etc… avec l’aide desquels l’orchestre atelier du C.F.P.M./Taya a été créé.

En 1995 l’orchestre a enregistré une compilation dans laquelle Fati Mariko a chanté Waîbi, Guelwaridjo. Cette compilation intitulée : Les Messagers du C.F.P.M. avait connu un grand succès au MASA de 1995.
1996 sonne la fin du projet CFPM et l’éclatement de l’orchestre donc, la dispersion des musiciens. 2 ans après, en 1998, Fati, ressuscite le groupe Marhaba, en compagnie de quelques amis.

Historique

 

Écoutez :

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